J'aimai Venise dès ma jeunesse.
Elle était pour moi comme la ville enchantée du coeur,
le séjour de la joie et des richesses,
s'élevant telle que des jets d'eau du sein de la mer.
L'art d'Otway, de Ratcliffe, de Schiller, de Shakespeare
avait gravé dans moi son image, et,
quoique je l'aie trouvée dans son état de désolation,
elle m'est peut-être plus chère dans ses jours d'infortunes
que si elle était encore l'orgueil, la merveille du monde.
Lord Byron,La Merveille du Monde,Quatrième chant (4-18),Childe Harold.
Eluard, Baudelaire, Rimbaud, etc, etc, etc, si maintenant tu te mets à citer mon Anglais préféré Byron, j'vais plus décrocher de chez toi, merci et encore :-)
Rédigé par : Wil | 31/01/2010 à 23:49